Giuseppe Giacomini and Eva Marton in the Final Duet from Andrea Chenier/ Giuseppe Giacomini et Eva Marton dans le duo final d’Andrea Chénier
This Saturday marks the birthday of Italian opera composer Umberto Giordano (Aug. 28 1867 - Nov 12 1948). Among the fourteen operas composed by Giordano, only Andrea Chenier has earned a place in the standard repertoire. (His Fedora, often regarded as a diva vehicle, is occasionally revived) First performed at La Scala in 1896, Chenier is loosely based on the historical figure of French poet Andre Chenier (1762-1792) who died on the guillotine during the French Revolution. This opera is one of the best examples of the verismo style, a genre of rather lurid librettos inhabited by fiery characters with out-sized emotions. I have chosen the final duet of Andrea Chenier and Maddalena di Coigny, sung just before they go to their deaths on the guillotine. To do the music justice, you need two great singers with huge, exciting voices. When well sung, this duet is sure to bring the house down. Here we have Italian tenor Giuseppe Giacomini and Hungarian soprano Eva Marton at the Richard Tucker Foundation Gala dated to the mid 1980's, conducted by Anton Guadagno. They figuratively lifted the roof off Carnegie Hall.
Ce samedi marque l’anniversaire de naissance du compositeur italien Umberto Giordano (28 août 1867-12 novembre 1948). Parmi les quatorze opéras qu’il composa, seulement Andrea Chénier a obtenu une place dans le répertoire traditionnel. Son Fedora qui est souvent considéré comme un opéra pour diva est repris occasionnellement. Joué pour la première fois à La Scala en 1896, Andrea Chénier est inspiré par le poète André Chénier (1762-1792) qui fut guillotiné lors de la Révolution française. Cet opéra est l’un des meilleurs exemples du style vérisme, un mouvement inspiré des livrets aux personnages explosifs et passionnants. J’ai choisi le duo final avec Andrea Chénier et Maddalena di Coigny chanté avant qu’ils passent à la guillotine. Afin de rendre justice à la musique, vous devez avoir deux grands chanteurs avec de grandes voix très intenses. Lorsqu’il est bien chanté, ce duo fait crouler la salle sous les applaudissements. Voici le ténor italien Giuseppe Giacomini et la soprano hongroise Eva Marton sous la direction d’Anton Guadagno dans une prestation des années 1980 au gala de la Fondation Richard Tucker. Ils ont fait sauter métaphoriquement parlant le Carnegie Hall.
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Ce samedi marque l’anniversaire de naissance du compositeur italien Umberto Giordano (28 août 1867-12 novembre 1948). Parmi les quatorze opéras qu’il composa, seulement Andrea Chénier a obtenu une place dans le répertoire traditionnel. Son Fedora qui est souvent considéré comme un opéra pour diva est repris occasionnellement. Joué pour la première fois à La Scala en 1896, Andrea Chénier est inspiré par le poète André Chénier (1762-1792) qui fut guillotiné lors de la Révolution française. Cet opéra est l’un des meilleurs exemples du style vérisme, un mouvement inspiré des livrets aux personnages explosifs et passionnants. J’ai choisi le duo final avec Andrea Chénier et Maddalena di Coigny chanté avant qu’ils passent à la guillotine. Afin de rendre justice à la musique, vous devez avoir deux grands chanteurs avec de grandes voix très intenses. Lorsqu’il est bien chanté, ce duo fait crouler la salle sous les applaudissements. Voici le ténor italien Giuseppe Giacomini et la soprano hongroise Eva Marton sous la direction d’Anton Guadagno dans une prestation des années 1980 au gala de la Fondation Richard Tucker. Ils ont fait sauter métaphoriquement parlant le Carnegie Hall.
- Joseph K. So; Traduction par Robert Scott
Labels: Vocal
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