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Wednesday, March 10, 2010

Nathan Gunn as Papageno at the Met in HD Magic Flute / Nathan Gunn est Papageno dans la Flûte magique en HD au Met


The big news for Toronto opera fans this week is the first appearance of American baritone Nathan Gunn, in town on Wednesday, March 10 8 pm at Roy Thomson Hall as part of its Vocal Series. Mr. Gunn is the archetypal "bari-hunk", a term invented some years ago by person unknown to describe baritones who are as pleasing to the eye as to the ear. There is a long tradition of singers of this ilk, from Lawrence Tibbett in the 1930's to Sherrill Milnes in the 1970's - hunky baritones with great voices. But there seems to be many more of them today, undoubtedly a reflection of the public favoring singers who look good on stage. In addition to Nathan Gunn, baritone poster boys today include the New Zealander Teddy Tahu Rhodes, Italian Luca Pisaroni, Uruguayan Erwin Schrott, American Jason Hardy, and Canada's own Dan Okulitch. There are many more, but these ones come to mind readily. They all have beautiful voices and are convincing actors on stage. With Mr. Gunn in town for a recital at Roy Thomson Hall, we'll get to judge for ourselves. I first heard him thirteen years ago, as Orestes in the famous Francesca Zambello production of Iphigenie en Tauride in Glimmerglass, arguably the show that propelled him to fame. His virile baritone is still in excellent shape these days. On the Toronto recital program are songs by Schubert, Charles Ives and American spirituals, accompanied by his wife Julie Gunn. Here is a clip of Gunn as Papageno in the English language Magic Flute from the Met, show three years ago. 

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Excellente nouvelle pour les amateurs d'opéra de Toronto cette semaine, la première apparition du baryton américain Nathan Gunn, qui se trouvait, mercredi 10 mars à 20 h, au Roy Thomson Hall dans le cadre d’une série vocale. M. Gunn est aussi agréable à regarder qu'à écouter. Il est le digne héritier d'une longue tradition qui a cours depuis Lawrence Tibbett dans les années 1930 jusqu'à Sherrill Milnes dans les années 1970 : des barytons admirables qui sont de beaux hommes. On dirait qu’ils sont plus nombreux que jamais ces jours-ci, peut-être le résultat de la faveur du public pour les chanteurs qui ont un physique agréable. En plus de Nathan Gunn, le palmarès des beaux barytons comprend le Néo-Zélandais Teddy Tahu Rhodes, l'Italien Luca Pisaroni, l'Uruguayen Erwin Schrott, l'Américain Jason Hardy et le Canadien Dan Okulitch. Ce ne sont que quelques exemples parmi d’autres. Ils ont tous des voix magnifiques et sont de bons acteurs sur la scène. Nous en jugerons par nous-mêmes lors du récital de M. Gunn. Je l'ai vu pour la première fois il y a 13 ans, quand il jouait le rôle d'Oreste dans la célèbre production que Francesca Zambello a réalisée d’Iphigénie en Tauride pour Glimmerglass, à laquelle il doit probablement sa notoriété. Sa voix virile est en pleine forme, et au programme de son récital à Toronto on compte des œuvres de Schubert et de Charles Ives ainsi que des spirituals. Il sera accompagné de sa femme, Julie Gunn. Voici un vidéoclip qui le montre dans le rôle de Papageno, dans une production en anglais de la Flûte magique au Met il y a trois ans.

- Joseph K. So; Traduction par Anne Stevens

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